Nous avons trouvé un endroit éclairé avec des lumières électriques. Peu importe comment il peut encore y avoir du courant ici, c’est l’endroit r^êvé pour prendre un peu de repos, en tout cas tant que le courant durera. Il y a cependant deux petits problèmes à résoudre : un fastfood plein de burgers en décomposition qui attirent les zombies des environs, et la porte du bâtiment qui nous intéresse, verrouillée électriquement. Dans des circonstances normales, ce verrou électrique serait uniquement une invitation à entrer, mais puisqu’il y a encore du courant dans le bâtiment, il ne suffit pas de pousser la porte. Il nous faut un moyen d’ouvrir ce verrou.
Retrouvez ce scénario exclusif Ravage en 9 dalles, écrit par Jean-Baptiste Lullien, à la page 52 du numéro 75 du magazine Ravage. La Télécommande est une mission Difficile, qui vous prendra environ 120 minutes à 6 survivants.
C’est vrai, la presse papier, c’est des gens qui y travaillent, soutenons les. Par contre dur de trouver Ravage dans mon coin, à croire que les zombies sont déjà là !!!
On est d accord il faut acheter Ravage
Mais pour ceux qui ont ratés les anciens numéros de cette revue introuvable
Ceux qui ont attendus leurs zombivants…
Enfin je croyais que Ravage était définitivement mort
Maintenant je vais roder dans le rayon presse
Bon réflexe, la presse papier est pas vraiment en bonne santé donc continuons à soutenir les publications qui nous tiennent à coeur !
Ravage est mort, peut il revenir en mode zombie : Eren il faut publier les scenarios !
Surtout pas! Il est au contraire impératif que ces Missions restent exclusives au magazine. La presse spécialisée connait des moments difficiles et Ravage a besoin du soutien de chacun. Alors, tous les deux mois, fendez-vous du prix d’un paquet de clopes pour soutenir l’effort de guerre ! Ce ne changera pas votre vie, mais ça peut permettre à Ravage d’égayer encore longtemps le paysage ludique…
C’est un sujet dont j’ai déjà discuté 2 fois avec Ravage. Je ne publierai rien leur appartenant sans leur accord, et j’ai bien l’impression que le magasine à encore une longue vie devant lui.